Entrevue avec Clément Badra, candidat du Parti vert dans Mont-Royal

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Candidat du Parti vert dans la circonscription de Mont-Royal, Clément Badra se présente pour un deuxième scrutin dans la circonscription. Scientifique de formation, il détient un baccalauréat en biologie combiné à une mineure en urbanisme, auxquels il ajoute une maitrise en environnement et développement sturdy de l’Université de Montréal.

En politique, M. Badra a été représentant des Jeunes Verts du Québec pendant trois ans et a été récemment élu vice-président du Parti vert. L’an dernier, il a travaillé à la Chambre des communes comme membre de l’équipe d’une députée et il proceed de s’impliquer dans différents paliers de gouvernance tout en portant un regard sur l’aménagement du territoire que nous occupons et modifions.

M. Badra travaille dans différents domaines liés aux enjeux climatiques, qui sont intimement liés à la justice sociale. Il est actuellement chargé de projet principal à la Company de développement communautaire de Côte-des-Neiges (CDC-CDN).

Tétraplégique à la suite d’un accident, Clément Badra veut apporter une certaine diversité dans la variété des candidats. Il veut déconstruire l’idée que les gens en state of affairs de handicap n’ont pas forcément les moyens de participer à la vie démocratique. Il explique qu’il existe un cadre systémique qui fait que, très rapidement, ces personnes sont désavantagées par rapport à d’autres groupes de la inhabitants.

Pour Clément Badra, tous les enjeux doivent être traités avec un regard environnemental, un facteur fondamental. Dans Mont-Royal, le candidat du Parti vert estime que le plus gros enjeu est celui du logement. Énormément de familles doivent se loger dans des logements insalubres, automotive elles n’ont pas accès aux logements sociaux.

Il dénote aussi le besoin d’aide des organismes concernant l’accueil des immigrants et leur orientation dans la société canadienne. De plus, il existe une inégalité dans l’accès aux providers, comme les transports en commun et les espaces verts.

En terminant, M. Badra souligne l’significance de l’facet humain dans la politique, qu’on a tendance à oublier quand on vote pour un député ou un parti.

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